On ne remerciera jamais assez ses collaborateurs…
Un spectacle sur l’isolement et la solitude, entre autres…
Pourtant, je n’aurai jamais été aussi moins seule…
De toute ma vie !
– À commencer par le Bain Mathieu, en la personne de René Jacques : malgré les apparences (scénographie minimaliste et absolument seule sur scène), sans cette résidence de 6 mois ni l’occupation commanditée de l’espace en ces 3 jours de mai, ce projet aurait été tout simplement irréalisable;
– Réal Léveillé, au piano virtuel, sans qui ce projet n’aurait peut-être jamais eu lieu;
– Claude Boissonneault, mon technicien « en résidence » — compagnon « d’infortune », dont le support personnel, l’expertise professionnelle et son oreille bionique m’auront été d’un immense secours;
– Cette nouvelle équipe des Productions « La Fille de l’Île » — on a beau être seule en scène, faire beaucoup toute seule, mais on ne peut pas tout faire seule…
– Lucie Mayer : qui en a pris sur ses épaules plus qu’il n’en eût fallu;
– Philippe Bocher : qui a pris en main les rênes de la captation de chaque spectacle;
– Louis Horvath : qui a réussi à faire un programme magnifique;
– Suzanne Maurice, cette amie retrouvée, qui a mis tout son talent dans la réalisation de ce « compagnon de scène » qui évolue au gré de l’histoire, et qui plus est, en parallèle, dont le support technique aura été absolument indispensable;
– Claude Frenette, cet autre ami retrouvé, qui a programmé ma bande sonore pour que je sois autonome sur scène, parce que, justement, seule…;
– Andréanne Gauthier pour les magnifiques photos (album et affiche);
– Pier-Luk Bouthillier, pour avoir « graphiqué » ces mêmes photos dont le résultat est tout simplement impressionnant;
– Martine Bujold qui aura réussi à donner vie à ces magnifiques tissus avec autant de grâce que de bonne humeur;
– Michel Parent, pour ces photos autant superbes que touchantes qu’il a su capter au soir de la première;
– Christophe Ducassy, vidéaste et qui fut aux premières loges, en ces mots : « J’embarque à chaque fois, je pense même que c’est moi qui vit le plus le concert car en zoomant, Christine m’absorbe complètement dans son histoire »;
– Noémie Niéto et Étienne Labelle-Sylvestre, du Bain Mathieu;
– Benoît Brodeur et le Théâtre de quartier, ainsi que Rudy Toussaint;
– Le dernier mais non le moindre, Sylvain Lelièvre, le premier à avoir lu mes premiers textes et m’ayant encouragée à poursuivre, vu la qualité du français de loin supérieure à la moyenne…
Et tant d’autres qui, de près ou de loin, ou même bien malgré eux, auront contribué à l’existence de cette histoire ; tous les WXYZ de ce monde…
De tout coeur,
Merci d’avoir été là !