Oh, que non !
Ce n’est pas parce que j’ai écrit dans un précédent billet « Qui dit opéra dit « drame » » qu’un projet de cette nature doive automatiquement naître et n’être que dans la douleur.
Si l’origine de l’écriture de certains textes le fut – tord boyau, l’écriture elle-même s’est avérée être un exercice des plus exaltants. L’écriture de leur musique le fut tout autant. Un plaisir gratifiant et immense. Et la réalisation-production de l’album qui en a découlé, WXYZ… Code secret, un « Opéra-Chansons », fut un des grands bonheur de ma vie.
Les textes sont très accessibles, leur musique plus qu’il n’y paraît même si parfois complexe. Quant aux clés, j’invite les auditeurs et spectateurs de jouer le jeu de trouver celles qui leur appartiennent.
En cette ère où la confidence semble devenir, malgré moi, une mode, c’est pourquoi, dans la suite de l’histoire, c’est-à-dire le volet spectacle-tour de chant, le traitement se veut relativement léger, question de ne pas tourner le fer dans la plaie pour rien…
Au plaisir?