En ce 9 avril.
À l’hôpital…
Ne semble toujours pas vouloir s’abandonner…
Ça va de mal en pis et ça risque de traîner…
Que la paix soit avec elle!
En ce 9 avril.
À l’hôpital…
Ne semble toujours pas vouloir s’abandonner…
Ça va de mal en pis et ça risque de traîner…
Que la paix soit avec elle!
Voici un article paru dans Le Soleil de Québec, le 26 décembre 2012.
« Une nouvelle exposition présentée à la Maison de nos Aïeux, à Sainte-Famille, relate les temps forts de l’agriculture orléanaise. Avec Orléans gourmand : des racines à l’assiette, les visiteurs ont l’opportunité de bien comprendre à quel point le travail de la terre s’est transformé au fil du temps.
L’exposition, que Le Soleil a visitée, définit quatre grandes périodes. La première, au XVIIe siècle, est celle de l’agriculture de subsistance. (…) Il faudra attendre au XIXe siècle pour que s’opère le grand changement vers l’agriculture marchande. (…)
Mais il ne faut pas oublier qu’à ce moment, le pont n’existe pas, et que c’est par bateau que se font ces voyages.
L’ouverture d’un lien direct avec la terre ferme, en 1935, s’inscrit dans une mouvance d’industrialisation de l’agriculture, alors que la machinerie agricole vient peu à peu prendre la place occupée jusque-là par le cheval. Dans les années 1960, les fermiers orléanais sont les mieux équipés de la province. (…) » (Pour l’article au complet, suivre le lien Le Soleil)
Mon grand-père Adélard Lemelin fut vraisemblablement le dernier à faire de la marine marchande entre l’Île et « la terre ferme ».
Et quand l’article fait mention que les agriculteurs de l’Île sont les mieux équipés, j’ai une bien grande pensé pour mon père qui a fait commerce de machines aratoires à St-Pierre… d’ailleurs, sur le signet souvenir pour la mort de papa (août 2011), il y avait fièrement un Massey-Harris Ferguson tirant une remorque pleine de foin! (mon père était très nostalgique de cette époque…)
Maison de mon grand-père. L’original de cette photo se retrouve à la Maison de nos Aïeux, à Sainte-Famille, Île d’Orléans
Cette photo de la maison de mon grand-père se trouve exposée dans la grande salle, en haut. D’ailleurs, la ferme de mon grand-père était considérée comme une des plus anciennes de la paroisse Sainte-Famille.
L’article fait également mention de l’abbé Raymond Létourneau qui a publié plusieurs livres dans le tournant des années 70-80, dont un « Sainte-Famille, l’Aînée de l’Île-d’Orléans », paru en 1984. En page 355: Quelques gloires: Christine Lemelin chante Carmen à New York…
Merci Andrée Pelletier et Maëlstrom créatif pour ce travail remarquable!
Les Lemelin sont une petite famille, dans le sens que nous n’avons jamais été très nombreux.
En 1979, c’était le centenaire de mes ancêtres, à l’Île d’Orléans, où j’avais eu l’honneur de chanter alors que j’étais étudiante.
Le prénom Christine n’est pas très fréquent. Alors, je me suis imaginée que j’étais la seule Christine Lemelin au « monde ».
Depuis quelques jours traîne sur mon fil des « blagues » provenant d’une Christine Lemelin travaillant dans les assurances…
Quand je me suis inscrite sur Facebook, il y a un an, je croyais que nous étions 2 ou 3 à porter le même nom. Vous direz que ce n’est pas rare.
Étant donné ce que j’ai écrit plus haut : je viens d’en dénombrer environ 30!
De quoi écrire Elle s’appelle « Personne »…