Ce matin (17 novembre 2015), je publiais sur mon profil Facebook ceci :
Tendre la main est un risque bien moins grand que la lâcheté.
Je ne l’ai pas mis entre guillemets. Je n’y ai pas apposé de copyright, car je n’ai pas peur que l’on s’approprie une telle vérité.
Pour qui me suit, il semble que ce soit chez moi un thème récurrent. C’est ainsi la troisième fois que je publie à ce propos sur cette plateforme.
Oui, la lâcheté, ça commence par de petites mesquineries qui semblent parfois bien anodines.
Des mesquineries qui tuent. Petit à petit…
On a tous eu, à un moment donné de notre vie, des moments d’égarement, voire de lâcheté. Mais on ne peut obliger quelqu’un d’avoir du courage…
Dénoncer encore ? À quoi bon. Pour avoir la sainte paix !
Il y en a que le remords n’atteint pas…
Ping : La cruauté (suite) | Christine Lemelin